Les compléments alimentaires sont habituellement pris dans l’objectif de posséder un profit sur la santé. Les effets divergents des analyses scientifiques et la publicité dans les médias et augmentée par les influenceurs engendrent une cacophonie. Les compléments alimentaires peuvent disposer d’un effet profitable par rapport à des manques nutritionnels. Or, quels sont leurs effets indésirables ?
Substance naturelle ne signifie pas idéale pour la santé
Habituellement à tort, vous croyez que des substances naturelles des plantes s’avèrent bonnes pour la santé que des substances artificielles. Voici un vieux et typique exemple d’empoisonnement, avec un morceau naturel de plante. Il est communiqué dans le célèbre journal The Lancet (Vale 1998) :
Un homme âgé de 61 ans s’est manifesté en septembre 1997 avec 5j de migraines à la tête. Sans oublier des maladies de dos, de somnolence et de nausées. Lors de l’examen, nulle anomalie physique n’a été retrouvée, sans oublier son état neurologique. Une hémorragie méningée a été identifiée. Une enquête détaillée a montré qu’il consommait des comprimés de Ginkgo biloba à 40 mg, trois ou quatre fois au quotidien. Et ce, depuis plus de six mois avant le commencement de ses symptômes.
L’extrait de Ginkgo biloba est commercialisé sans ordonnance sous l’aspect de supplément dédié à perfectionner la vigilance mentale. C’est le motif pour lequel le patient le consommait. Or, l’extrait représente un fort inhibiteur de facteur d’activation plaquettaire factor 1. Par ailleurs, son usage à long terme a été allié à un accroissement du temps de saignement. Y compris, à des hématomes sous-duraux et à une hémorragie spontanée.
Il n’est pas justifié que l’hémorragie sous-arachnoïdienne ait été engendrée par le Gingko biloba. Or, le manque d’autres éléments de risque propose une relation plausible avec le complément alimentaire. Sans oublier l’alliage temporel de l’accroissement du temps de saignement, de l’accident hémorragique ainsi que le profil d’agrégation antiplaquettaire.
Des éventuels impacts indésirables
Moins de 1 % des faits indésirables rattachés aux compléments alimentaires étaient ramenés à Food and Drug Administration (Woo 2007). Une autre analyse (Timbo 2017) dernièrement annonce un pourcentage de 2% de faits indésirables avec 15 430 faits indésirables entre 2004 et 2013. Ceux-ci sont ramenés avec le système CAERS (CFSAN Adverse Event Reporting System). Et ce, pour majoritairement les compléments multivitaminiques, les vitamines C, D et E ainsi que le fitness.
3927 hospitalisations (25,4 %) se sont déroulées aux États-Unis avec 1218 cas dans des sorts qui frôlent la mort. 339 morts ont été ramenées. La revue de la littérature scientifique de Bins et al.2018 mentionne 8 % d’hospitalisation rattachée à des interactions médicaments/compléments alimentaires.
Les compléments alimentaires à fuir
Plusieurs compléments alimentaires sont évoqués aux États-Unis.
La France/ANSES prévient les populations à risque (ados, enfants, femmes allaitantes, enceintes, gens avec soins médicamenteux). Cela se passe quelquefois pendant une activité physique contre de nombreux compléments alimentaires.
Pour la Berbérine, des conséquences pharmacologiques avérées se manifestent à partir de 400 mg/j (posologie médicamenteuse). L’ANSES soupçonne des résultats hépatiques possibles à des posologies inférieures.
La spiruline provient des cyanobactéries. L’ANSES prévient contre l’existence de cyanotoxine, d’impuretés en métaux lourds. La vitamine B12 de la spiruline se présente sous l’aspect d’analogue inactif. Cela peut aussi amener à un éventuel surplus de bêta-carotène.